vers aïe

ventilaspirante

galaxie du sable

spiralenspirale

La cène

Deux pierres levées

L'indécision

Saut, bascule,embrusque

Devoir fuir

Dévier

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Devenir

Fourrer son né

Sauve la plume impériale

r

aranea

toile

 

Piétinée d'un geste chenapan

La toile tissée

Pas à pas, lentement

 

granite

pas pas

bulles

trestignel

vertigo

gribOuille

ronde de sable

 

 

  

trous

Poussé à continuer au chapitre des évangiles

 

Je m’apostume de folie en perdant ma virginité

 

Poli comme le galet roulé par les éboulis de l’éternité.

 

Savant, poète, femme en ménage pérorent l’anathème

 

A ma solitude inaccomplie.

 

M’assouvir dans les soupirs râle mon agonie.

 

Qu’ils applaudissent et jettent du riz !

 

Je ne serais plus ni renaitre ni m’enfanter

 

à agrainer tant de bijoux de famille.

 

 

J’engage sa voie parcimonieuse

 

 dégoût de mouton et de divines déconvenues.

 

Parvenu à libérer le rite de la fatalité

 

 l’œil qui tourne des plaisirs follets.

 

Je vomi des sucs digérés 

 

fluide résurgent aussitôt régurgité.

  

Le commerce florissant capitonne et musèle la sorcière

 

balai pour nettoyer et tout ranger à sa place.

maillensable

la ratisse

tempesta inaugurale la tiempo

 

de la destructor intempestif

 

figurea la ultima fat corrole

 

vege apocalupsis

 

que dice MORTE duelle

 

a la servitude docto impatiente

 

ion vo se radictus peste

 

humanoide y guernica

 

yo hay in too end

 

volo perdur la sanctum

 

peligrini creac'h

 

vinci realidad

 

hemo globinus es

 

spiraliode

l'anneau

cinq voiles

s'enroule et roule de s'enrouler
délivrant un écartèlement évasif
de ce gouffre monte la palpitation vivante
d'un maelstrom d'ingestion et de son contraire
Nous voici dans le courant cyclique
noués et remués
tout ce qu'absorbe le tourbillon doit ressortir
et chacun en défaut de la confrontante rencontre
glisse au fil du temps à sa mort
l'opposition est dissolue
Nous respirons un air épuré
où la sensation pénètre
peut naitre

le cristal perméable Nous encercle

écroulant Tout ce à quoi On bute 

enrouliante

bleu rose jaune

spiraliafluctua

coque île

Qu'est ce qui se crâne ici et là que personne n'écoute

Quelqu'un réclame du soutien

 Quelqu'un guide l'aveugle et personne n'entend

 chapeau souple vissé  aux lobes des  deux oreilles

 fuseaux toujours par paire

sous le couvre-chef feutrine bouge une trame métisse

 d'excitations sanguines, de jets, de rhizomes en pentes sécantes

mouture dégoulinante de par dessus les lèvres en impropre saccage d'existence

Bout de trop qui embarrasse

Barque qui prie dans l’os graine de saveurs exquises

Au couteau de la vigne des mesures du temple

mes moires proches

interférences  sang mêle parfaitement

une dentelle  tension

 ni envers ni endroit

cri me  sirène des fonds marins

l' arracheuse  dent dormie

 s'enroule en si non tant pis

tourne croise

foutre toise

démêler les mèches rebelles

 ordonner quant- à- soi

une visitation  crachant en  bouche

 une résilience piquée avec soin... au point...  en coin... de moins

cousue main pour tout retenir par une épingle

au croisement  du fils de l'émergence. 

j'écris ton nom

fil à maman

A mon caillou écharpé de ce petit tricoté vert de gris

Une ritournelle materne papier chiffon

Punaisé à ta porte d’entrée

Je venais te rendre visite

Tu n’es déjà plus là.

la clef

A l’orée culine

En porte feuille

Une astuce maline

De vol- heureuse cueille

Un bijou serrure

 

Trouvant la combine en terminus

Saison nervée

Savate au gong de chez gibus

Un instant fermé

Pour un palier de plus franchi

 

entre 37 et 38